15 septembre 2006

Lectures d’été qu’il ne fallait pas rater !

>>Le mécénat de compétence perce en France


>>L’identité d’entreprise, un avantage compétitif


>>Émotion et décision : la conscience sous influence


>>L’éthique individuelle, un nouveau défi pour l’entreprise

19:02 Publié dans À lire ! | Lien permanent | Commentaires (0)

15 juillet 2006

Ecouter

" Celui qui parle sème ; celui qui écoute récolte." Proverbe persan.

A lire cet été !

Tels pères…quels fils ? Par Pascale Weil chez Eyrolles. Un essai éclairant pour décoder la société. Une habile intégration des connaissances en marketing, marque, sociologie pour donner du sens, comme disent les experts de Publicis Consultants !

Etudes Marketing de François Laurent chez Village Mondial. Ce livre prend en compte les mutations sociales et technologiques qui obligent à reconsidérer l’approche des études de marché. Des réponses opérationnelles par un expert indépendant reconnu.

Le nouveau numéro de Médias est indispensable

Tout particulièrement l’interview de Paul Virilio par Serge Raffy. Un esprit libre, non conformiste, qui souhaite mettre la pédale sur le frein…(achetez le magazine !)
Si vous voulez découvrir cet architecte-philosophe, voici quelques articles non récents mais toujours décapants. Et pour aller plus loin, lisez Cybermonde, La politique du pire chez Textuel (2001).

>>Paul Virilio : la littérature est-elle menacée ?

>>Paul Virilio : l’information devient la troisième dimension de la matière

>>Paul Virilio, l’instantané et l’information

Les marques sont secouées…ce n’est plus le moment d’attendre, il faut inventer !

Côté business, côté cible et côté technologies… Gilles Masson, patron de M&C Saatchi GAD a noté les signes du changement. Voici un inventaire pertinent et éloquent.

>>Libres propos de Gilles Masson

Au fait, le plaisir, c’est quoi ?

Vrai sujet de magazine pour l’été ! Mais vrai thème de réflexion dans le phénomène de séduction…des marques. Un extrait de l’ouvrage d’Hubert Jaoui, expert en créativité, Guide de la réussite et de l’épanouissement personnel, paru en Livre de Poche. C’est du grand public avec plein d’idées pour mieux communiquer.

>>Les huit sortes de plaisir !

Accepter d’être emporté par les sens !

Certaines lois physiques ont codifié différentes illusions d’optique…Laissez-vous aller et vous irez de surprise en surprise, c’est magique…et ça épate les amis !

>>La démo est là...

18:38 Publié dans Non classé | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : developpement

15 juin 2006

Communiquer par les sens…

Le marketing sensoriel du point de vente est le titre d’une réédition passionnante chez Dunod. Huit auteurs coordonnés par Sophie Rieunier. Des réponses opérationnelles pour savoir comment s’y prendre.

>>L’influence de l’ambiance sur le comportement

Le buzz, plus fort que la rumeur

Le principe

Le buzz n'utilise pas un média spécifique mais occupe tous les canaux de communication afin d'arriver à faire parler d'un objet. C'est une sorte de publicité sauvage qui passe par le consommateur et le fait devenir vecteur du message. Le schéma de diffusion est donc le bouche-àoreille, on parle d'ailleurs de marketing viral. Il s'inscrit dans une stratégie de diffusion à budgets plus modestes et dans des modes de diffusion ouvent novateurs. Le buzz repose sur un principe de surprise puisque les moyens utilisés doivent être sans cesse renouvelés pour faire sensation et donc faire parler. C'est un cas très intéressant où le média est l'objet de la communication et non son moyen

 

 

Apparition

Le terme de buzz est assez récent et il a réellement été utilisé en marketing depuis l'arrivée des nouvelles technologies de l'information et de la communication. En effet, ce mode de diffusion permet une propagation démultipliée des messages, à des rythmes impressionnants et pour de faibles coûts. Par exemple, la création d'un site Internet puis la diffusion du mailing à un premier groupe cible permet, si l'information est suffisamment répercutée, que se crée le buzz et que naisse le succès pour le produit ou l'entreprise initiatrice.

 

 

Les limites du genre

Par son mode de diffusion anarchique, le buzz peut être un outil de marketing dangereux. En effet, ce sont les consommateurs qui s'emparent du message et, comme souvent dans le cas d'une rumeur, ils peuvent le modifier, le détourner contre le produit ou l'entreprise. Le succès de ce type d'initiative amène les entreprises à reprendre ce thème pour toucher leurs populations cibles à moindre frais et sur le mode de la surprise. Cependant, c'est une affaire de spécialistes qui doit être savamment contrôlée sans toutefois étouffer la créativité ou la diffusion par une présence trop forte. C'est au prix de ce difficile exercice sur une ligne de crête que peut naître le buzz, garant du succès d'un lancement de produit ou de la notoriété d'une offre.

 

 

Quelle méthode ?

Le métier, depuis quelques années, s'est spécialisé avec des agences qui font du conseil en buzz marketing. L'idéal est de viser d'abord des leaders d'opinions, des spécialistes dans le domaine concerné ou des fans de la marque qui seront d'excellents relais de l'information et se l'approprieront, faisant disparaître la volonté (parfois stérilisante) du marketing de l'entreprise. Le concept est de promettre très peu et de fournir/donner beaucoup pour satisfaire le client et encourager la propagation du message de l'entreprise : Underpromise and Overdeliver.

(in Wikipédia)