15 avril 2010

Choisir son agence de communication.

Pour l’auteur de cette lettre, c’est un métier ! Choisir une agence de communication ou plus généralement son prestataire dans les métiers qui touchent au marketing et à la communication exige de la méthode et un peu d’expérience. En se faisant accompagner on bénéficie d’une expertise dans un exercice que l’on n’a pas nécessairement eu l’occasion d’exercer souvent. Mais ce peut être aussi parce que l’on manque de temps, que l’on désire un regard indépendant, enrichi. Voici 5 règles clés pour bien choisir...

>> Lire la suite de l'article !

Choisir une création publicitaire.

Pour François Blachère, patron de BDDP&Fils, quand une très belle campagne, une grande idée se présente à vous, la question du choix ne se pose plus. La création s’impose d’elle-même comme une évidence, l’idée est forte, son exécution vous surprend et vous fait redécouvrir ce brief que pourtant vous connaissiez déjà, vous vous demandez juste alors pourquoi cette idée n’a jamais été utilisée et vous vérifiez avec un brin d’angoisse qu’il n’y a pas d’antécédents... Dans tous les autres cas, les plus nombreux, le choix est un exercice difficile. Il se fait sous la pression du temps, de l’argent. Il n’y a pas de recette mais peut-être quelques conseils modestes, de bon sens glanés au fil du temps à l’usage des décideurs en agence ou chez l’annonceur au moment précis où les regards se tournent vers eux avec fébrilité, curiosité ou angoisse en attendant leur "première réaction".

>> Lire la suite !

Choisir son identité...

Choisir son identité c’est d’abord affirmer que la marque vient de quelque part. Christophe Fillâtre, Président de Carré Noir nous précise : la genèse de la marque, son mythe fondateur est constitué d’un ou plusieurs éléments distinctifs. Il peut être une idée (Ford), une performance technologique (Dyson), une origine géographique (Peugeot), un métier (Hermès), un fondateur (Coco Chanel), un produit (la malle Vuitton), une figure emblématique (le cowboy Marlboro), une communauté (Harley Davidson et ses riders), un rite de consommation (Corona)...
Bien choisir son identité exige de se définir. La marque est le fruit d’un travail de fond, d’une introspection. C’est un choix donc un acte courageux et un engagement. Ce travail permet de préciser la vision de la marque, le but particulier qu’elle s’assigne, son positionnement ou sa spécificité, ses valeurs et son style. Définir sa marque permet de retrouver du sens.

>> Lire la suite de l'article !

RP : le temps du choix !

Pour les associés de l'agence Profile PR, Alexandra Gauquelin et Cyril Delattre : pouvoir et savoir choisir est sans doute l’enjeu le plus passionnant dans nos métiers conseil et de prestataire en communication.
Même s’il est dans la nature même de nos activités en relations presse et en relations publiques depuis toujours, il est cependant devenu, ou redevenu, en quelques mois l’objectif le plus complexe à maîtriser. Et c’est tant mieux, car il va redonner un “coup de fouet“ à un besoin de professionnalisme plus rigoureux et plus créatif aussi.
Le pouvoir du choix va remettre en avant le couple sacré des agences “le stratège-créatif et l’opérationnel“ si utile dans l’ensemble de nos métiers. Et tout particulièrement dans les RP qui prennent tout leur sens, et donc leur utilité, dans la recherche du fin, du développement, des effets de levier, contrairement aux effets de masse provoqués par la publicité.
Choisir, quoi et pourquoi ?

>> Lire la suite de l'article !

Choisir de recevoir une lettre...

Si bon nombre de lecteurs ont clairement choisi de recevoir cette lettre, d’autres la reçoivent suite à un échange de cartes de visites. Pour avoir des lecteurs volontaires, et incidemment pour respecter les règles qui régissent la gestion des fichiers, nous vous remercions de confirmer votre intérêt pour cette lettre-blog...

>> Je choisis de recevoir cette newsletter mensuelle !

Les petites phrases sur le choix.

  • "On n’est point un homme d’esprit pour avoir beaucoup d’idées, comme on n’est pas un bon général pour avoir beaucoup de soldats."
    Chamfort, Maximes et pensées. Cité par N. Bordas.
  • "Une idée qui n’est pas dangereuse ne mérite pas de s’appeler une idée."
    Oscar Wilde, Le critique artiste in intentions.
  • "Seuls ceux qui sont assez fous pour penser qu’ils peuvent changer le monde y parviennent !"
    Henri Dunant, Fondateur de la Croix Rouge.

18 mars 2010

Trop c'est trop...

On n’en peut plus ! Trop d’informations, trop de conseils, trop de recommandations, nous sommes énormément sollicités, peut être trop sollicités et invités à changer nos habitudes, notre organisation, notre vision parfois même notre alimentation (hum !). Chacun est à la recherche de plus d’efficacité, de sens, d’un vrai bon conseil, c’est certain... Comme l’on sait que le regard de l’autre est souvent plus objectif, on est d’autant plus en attente de la bonne parole ! Plus que jamais le bon conseil est attendu. Mais on est bien d’accord, pas trop, juste le bon conseil... Merci à nos amis experts d’avoir tenté d’exprimer leur bon conseil du moment…

Bruno Paillet

Trop c’est trop ? Pas si sur...

Pas si sur pour Robert Zarader, président d’Equancy&Co... www.equancy.com

"Tout ce qui est excessif est insignifiant", écrivait Talleyrand. Jamais sans doute son propos n’a-t-il été autant d’actualité. Trop, c’est trop. Principe de précaution transformé en dogme constitutionnel, aversion généralisée au risque, défiance mondialisée, régulation tous azimuts, goût démesurée pour la discipline ou l’autodiscipline... la sociologie de notre monde se transforme en une science omnipotente du "ne plus faire" ou uniquement dans la norme.
Trop c’est trop, les sociétés et les pensées deviennent toutes prévisibles, inéluctablement prévisibles, désespérément prévisibles. Les clones ont depuis longtemps remplacé les clowns.  L’imagination a cédé sa place dans beaucoup trop d’endroits à la pensée unique. Trop, c’est trop.  Nos discours économiques, sociaux, politiques ou intellectuels se réduisent à des joutes verbales et des rapports de force qui laissent peu de champs à l’échange, au partage et à la vraie pensée. Tout est si attendu, les questions, les réponses, trop, c’est trop. Plus de liberté, plus de controverse, plus de débats d’idées. En bref, plus de liberté. Là, ce n’est jamais trop. Et aujourd’hui, c’est tout juste assez. "Tout ce qui est excessif est insignifiant", notre monde a besoin de signes et de sens : le sens du travail, le sens de l’action et pourquoi pas le sens de la communication. "Notre monde est à la merci d’une idée", trop d’idées n’est jamais trop. 

Une seule question : « Comment mesures-tu ton ROI ? »

C’est le premier conseil de Xavier Dordor, délégué général de l’APPM, Association pour la Promotion de la Presse Magazine, www.pressemagazine.com

Le ROI, tout passe par lui. Il définit l’objectif et sacralise l’unité de mesure. Ayant la confiance du client, je  m’autorise à discuter son indicateur, à critiquer son choix. Parce que non réaliste, parce que romancé et loin de la réalité que je connais, que j’ai étudiée en profondeur pour gagner le pitch ou que j’analyse  depuis de nombreuses années. Je pense qu’une agence création ou média qui ne partagerait pas l’indicateur de ROI de son client ne peut travailler de façon pertinente avec une marque.

>> Lire la suite...