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28 mars 2014

Amérique et Chine en compétition, des visions du monde assez partagées au cinéma !

Dans Le loup de Wall Street, Martin Scorsese nous dit : "Ce qui m’a poussé à faire ce film ? La colère. Je ne sais pas ce qu’il faut pour que le monde se remette d’aplomb, mais je vois la souffrance des gens. Je ne comprends pas ce qui se passe. (…) Je voulais donner une impression d’obscénité." In Le Monde 25-26 décembre 2013

 

"A la brutalité des rapports humains, Jia Zhang-ke oppose la résistance par l'oeuvre d'art, qui est autant catharsis que consolation. Au-delà de son message d'alerte salutaire sur l'état de la Chine, A touch of sin est, aussi, un hommage vibrant aux humiliés et offensés du monde entier. Et à l'art qui les sauve. Dans la Chine convertie au libéralisme sauvage et à ses inégalités, des citoyens ordinaires, victimes de l'exploitation, de l'intolérance, de la misère, retournent brutalement contre leurs bourreaux, ou contre eux-mêmes, la violence extrême, devenue banale qu'ils ont subie.In Télérama 11 décembre 2013

 

PS : En Chine, on voit de drôles de choses, et cette fois, ce n’est pas du cinéma !  Cliquez-ici !

Ces paysages étonnants pourraient être du « land art », mais non, c’est du vrai, du lourd (grâce à la sagacité de Michel Lebot). Ces images font penser à l’extraordinaire travail de Jean Verame, peintre des déserts.

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